w/ Yaqine Hamzaoui - Grégoire Valoteau - Mokosh - Yanis gouverneur - Valentin Michalle - Clément poplineau - Joelle Dubois - CASH
Ouvert du mercredi au vendredi 12:00 - 18:00
ARTISTES
mokosh
Danseuse Hip hop à ses débuts et photographe de formation, elle parcourt depuis toujours les arts urbains. Elle y fera la découverte entre autres de Banksy, Herakut et Raf Urban qui éveilleront en elle le désire de partager sa vision du monde à travers l’art. En parallèle, Mokosh tombe amoureuse de l’art figuratif et réaliste en voyant les peintures de Sergio De La Flora. Utilisant aussi la photographie pour construire certains de ses portraits, son art vacile entre bombe et acrylique. Ses œuvres sont parsemées d’écrits poétiques inspirés de son vécu, délivrant des messages libertaires remplis d’humanisme et d’espoire.
Grégoire Valoteau
Depuis son enfance dans la fin des années 90 en France, Grégoire remplit quotidiennement des carnets de dessins, d’écrits et d’expérimentions graphiques. Ses inspirations proviennent de ses voyages, de la jungle urbaine et de la musique. Il travaille sur des supports variés. Cette mixité des médias lui permet d'avoir plusieurs approches créatives. Il collabore régulièrement avec d’autres artistes sur des projets liés à la culture Hip-Hop avec ses collectifs Le Fief et Sacrés Compères. Ces dernières années, il a pu confirmer ses expériences à Nantes, Paris, Lyon et São Paulo. C’est désormais à Bruxelles qu’il poursuit son aventure depuis un an, avec l’amour d’entreprendre et de pratiquer sa passion.
Joëlle Dubois
Joëlle Dubois paints and illustrates. With a wink she transfers the digital revolution and the resulting role of humans in our modern society into her works. The Gent-born artist is especially interested in the voyeuristic aspect of digitalisation. Social Media Platforms such as Instagram, Snapchat or Youtube, television programs such as Big Brother or the Bachelor fulfill our desire to anonymously observe others in their suffering, their love life, their failures and also their successes. Digitalisation has made communication faster, more purposeful and interactive. However, this also goes along with the fact that less and less privacy is possible, and that one presents him/herself more openly and more naked to everyone else. Basically communication is increasingly superficial, impersonal and anonymous. Dubois devotes herself with passion to this complex of topics in an ironic and also comical way. She depicts her protagonists in an exposed and unadorned manner, steeped in a drastic realism that often turns out to be very distorted and untrue in the digital world. By showing hairy, obese women and men in compromising positions, she emphasizes her own strong role as an independent and emancipated woman and artist. For all that, Dubois herself is a silent observer, watching the world in her own display of idiosyncratic perfectionism.
Valentin Michalle
Valentin Michalle est un jeune Bruxellois de 26 ans ayant fait ses études en arts plastiques et graphique à l'Erg. La série de photographies suivante à été majoritairement prise à Bruxelles et ses environs entre 2019 et 2020.
"Bruxelles, c’est sa ville J'aime m'échapper un moment pour l'arpenter, l'analyser et la comprendre. Elle ne m'ennuie jamais, il y a toujours une situation, un moment à saisir, quelque chose qui nous fait voir la ville de façon personnelle et unique.
C'est la poésie brut de mon quotidien. Il ne faut pas bouger loin pour sentir le monde vibrer autour de soi, se laisser porter par l'ivresse et le rythme...je compare la photographie à un verger remplit de fruits où chaque instant attend d'être cueilli par la bonne personne, le bon oeil.
Il faut aimer voir et se délecter de ce qui s'offre à notre regard, il est capital de s'en emparer comme support à notre mémoire et comme témoignage de notre vécu. J'utilise le film argentique pour ses caractéristiques graphiques et car il me permet une grande spontanéité."
Yanis Gouverneur
Il Pratique la photographie argentique depuis 2013 ainsi que des collages et des écrits. Depuis 2018 il crée des compositions d’objets, d’illustration sous forme de scan qu’il apelle « Prod3000 ». Avec 5 expos photo a son compteur, celle-ci ci est néanmoins la première avec ses scans. Les prod3000 on été créées dans un soucis de vouloir immortaliser certains objets, visuels « pour toute la vie » !
Imaginez : lors de vos déménagements, le nombre d’objets qui se perdent et finissent par disparaître, vos biens que vous décidez d’offrir aux gens à qui vous avez envie de faire plaisir, bien ils ne seront plus votre possession, d'où l’idée de les scanner, pour pouvoir les garder pour toujours et en même temps les partager avec d’autres personnes . Faire s’évader et partir en nostalgie les gens qui posent leurs yeux dessus .
CASH
CASH aka Carl Anders Sven Hultin of his full name is self-taught artist based in Brussels, Belgium & Stockholm, Sweden. He is Swedish and Zimbabwean which makes him an Afropean artist. He has done many exhibitions over the world in cities such as: Paris, London, Brussels, Beijing, Copenhagen, Stockholm, Santiago.
He started as a portraitist but he has evolved by mixing all his different influences into stories of society blending codes of different worlds in simple compositions. His technique is colorful and raw, he uses palette knives to paint on different mediums such as canvas, carton, papers, walls and objects. He has been creating works since 2009. He is a portraitist at first but evolved in a world of characters and of different heritages blending together to create his own style.
Yaqine Hamzaoui
The 24-year-old first made a name for herself in the music business, documenting key moments of the exciting new waves in the local hip hop scene. Back in November, she was crowned the country’s number one music photographer at the Red Bull Elektropedia Awards 2019; a surprise to many, but not all. Often, You may have Deen yaqine on the side of artists like Miss Angel, Martha Da’ro, Zwangere Guy or Blu Samu – the photos of tonight were first shown at the vice expo in 2019.
Clément poplineau
En fin de cursus aux Beaux-Arts de Bruxelles, Clément Poplineau (28 ans, originaire de Lyon) est l’un des rares étudiant·es à avoir déjà exposé en galerie. Avec l’idée d’emmener les siens dans son sillage, il brise certains codes d’un milieu artistique parfois insipide et trop hermétique aux non-initié·es en y posant des pièces à la portée sociale solide, et y intègre toute sa clique. Une partie du style pictural de Clément est issue de la peinture classique et des portraits de la noblesse de l’époque ; un langage visuel qu’il applique à une culture contemporaine liée à la rue et à ses codes, et par extension à ses problématiques propres du style les préjugés, la précarité ou l’échec. En gros, Clément ne fait pas que peindre et sculpter en transposant des codes d’une époque à une autre et en soulignant des clashs anachroniques ; sa pratique prend forme autour des notions très actuelles d’oppression, de pouvoir, de révolte et de lutte des classes mais aussi d’éducation à l’art.
