Une installation qui touche aux choses qui passent inaperçues, mais qui se logent dans le corps et laissent des empreintes dans la mémoire auditive.
“that in which we live, leftovers and heritage,
toxic or fertile, aural reminiscence with an a
all those things that stay in the ear,
all those things that we can’t grasp but we keep
the sonic imprint”
20 minutes
in loop
Sandar Tun Tun construit son travail autour de la fabulation, de nouvelles alliances et trajectoires collaboratives. Artiste, chercheur·euse, DJ et compositeurix iel développe une pratique sonore, spatiale et performative centrée autour de l’écoute, réactivité sensible et critique. Partant de l'espace social de la musique et de ses perspectives de transgression, ses projets explorent des voies de recueillement ou d’interversion pour habiter dissonances, fragmentation, et bruit. Ses recherches s’intéressent aux modalités de transmission au sein de cultures aurales et récits artifices, à l’espace d’apparition/disparition, au lien entre technologie et spiritualité, écologies non-humaines et conscience collective et donnent lieu à l’expérimentation de langages, stratégies et processus de co-composition allant de la création d’entités à l’organisation d’événements, groupes d’étude ou soirées de poésie sonore.