Cinq acteurs s’efforcent dede traduire la vision du racisme et de l’identité des mythiques années 60.
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If there weren’t any black you’d have to invent them est un film de Johnny Speight de 1968. Presque 50 ans après sa sortie, 5 acteurs ont décidé de le revisiter, se partageant pas moins de 16 rôles !
Aurelie Di Marino, Farbod Fathinejad, Benjamin Op de Beeck, Kaat Arnaert, Nona Buhrs et Ahilan Ratnamohan analysent le script dans les moindres détails, comme un document historique. Les désirs de ségrégation sont-ils inhérents à l’homme ? Avons-nous totalement intégré la liberté de pensée ? Que reste-t-il de cette société cloisonnée que Speight tournait en dérision ? Qui joue quel rôle aujourd’hui ? Combien de rôles l’homme du 21e siècle peut-il jouer simultanément ? Qu’est-ce qui a changé et qu’est-ce qui est resté identique ? Qu’est-ce qui est devenu plus complexe ?
Les 5 acteurs s’efforcent de manière ludique de traduire en langage contemporain la vision que Speight avait du racisme et de l’identité des mythiques années 60 : un miroir anachronique qui nous dévoile une lugubre réalité.
Basé sur le scénario du film 'If There Weren't Any Blacks You'd Have to Invent Them’ de Johnny Speight
De et avec: Aurelie Di Marino, Farbod Fathinejadfard, Benjamin Op de Beeck, Ahilan Ratnamohan, Nona Buhrs, Kaat Arnaert
Dramaturgie: Dries Douibi
Technique: Gregor Van Mulders, Delphine Dupont
Decor: Jozef Wouters / Decoratelier & Tim Vanhentenryk
Costumes: Atelier Ad Hoc
Production: Kunstenwerkplaats Pianofabriek
Coproduction: d e t h e a t e r m a k e r, Beursschouwburg, De Grote Post, C-Mine Avec le soutien de Vlaamse Overheid, Vlaamse Gemeenschapscommissie, Het Bos, Kunstencentrum BUDA
Remerciements: Btissame Bourrich, Merel Van de Gehuchte, Elsemieke Scholte, Karlien Vanhoonacker, Johan Dehollander, Delphine Coërs
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In the framework of THE FUTURE IS FEMINIST.