A propos d’une relation (possible) avec le logiciel utilisateur d’un ordinateur.
La danseuse et chorégraphe, Bryana Fritz, prend place derrière un ordinateur, cernée par l’obscurité. La tablette de son bureau est projetée en grand sur le mur derrière elle. Son curseur danse sur le bureau parsemé de dossiers bleus dotés de noms similaires : BLUE 1, BLUE 2, BLUE 3, …. Au centre, un dossier au nom étrange : ‘LANDSCAPE’. Les dossiers s’ouvrent et se ferment, des traits naissent, des cases s’allument, des couleurs et des sons apparaissent, ici, c’est un poème qui se déroule. L’interface utilisateur d’Apple se transforme en paysage : parfois plane et en deux dimensions, parfois d’une profondeur sans fond, avec un nombre infini de fichiers.
If software exerts a choreographic force on the user, how can she employ dance as a means to escape its clutch? Fritz essaie d’échapper aux modèles prédéfinis dans lesquels le logiciel enferme nos activités informatiques quotidiennes. Nous les utilisons toute la journée d’une manière fonctionnelle. Pouvez-vous laisser tomber toutes ces fonctionnalités et jouer à créer une poésie au départ d’algorithmes numériques ?
“On poetry, on dance, on a bed of software, on surface depth; on submission to form and on the poetics of usership.”
US
In the framework of THE FUTURE IS FEMINIST.