Cette exposition prend la terre comme objet central de réflexion, non pas en tant qu’entité abstraite souvent réduite à des concepts généraux comme la biodiversité dans les discours écologiques dominants, mais plutôt comme une terre locale, enracinée dans l'humus, liée à la subsistance et à l'agriculture. La terre devient un espace d’appartenance, un lieu où les histoires de résistance et de transformation sont cultivées.

Les Graines Portent en Silence la Mémoire des Sources rassemble des œuvres et des pensées qui incarnent une démarche écoféministe décoloniale. Sarah Risheq, Emily Sarsam, Aziza Gorgi, et Férielle Doulain-Zouari proposent une réflexion collective sur la mémoire de la terre.