‘Dans sa pièce For Faces, Antonia Baehr conçoit des micro-chorégraphies pour quatre visages. Placés en cercle autour des interprètes, nous sommes assis/es directement face à elles/eux – trop proches pour la zone de confort du parterre de théâtre et trop éloigné/es pour identifier exactement les bouleversements d’expression sur le visage situé en face de soi. La “face” devient la scène sur laquelle le regard de la/du spectatrice/teur elle/lui-même apparaît comme acte théâtral par excellence, dans son intimité et son activité, son ouverture et sa violence. Chorégraphiés, les mouvements des visages ne sont plus déchiffrables en tant que mimiques porteuses de sens; ils mettent en marche un zoom de l’attention, qui laisse disparaître, devant nos yeux, les performeuses/eurs en tant que personnes et les met radicalement à disposition du regard.’ – Constanze Schellow

Pourriez-vous assister à un spectacle et le regarder de la même manière dont on contemple un paysage ou un visage, où les émotions défilent comme de petits changements climatiques?

A la recherche d'image et de visibilité

A woman with the body of a macho dancer

un rite de passage

Beursschouwburg is in een zwarte nevel gehuld voor de gelegenheid van het Kunstenfestivaldesarts, die ons als festivalcentrum uitgekozen heeft. Bezoek ons dagelijks vanaf 18u en droom over welke voorstelling je deze avond wil bekijken!

Sans y être invitée, comme un friendly stranger, l’artiste détourne des rassemblements communautaires – un comité d’entreprise, un conseil municipal, un comité de quartier... – pour y donner une courte conference.

Un freak show nécrologique du modernisme.

Une performance magique sur la manipulation!

Margarita Production existe 10 ans! Une publication est éditée à l’occasion de leur anniversaire ayant autant pour objectif de clarifier le fonctionnement du bureau alternatif de management que d’esquisser une vue d’ensemble d’une génération spécifique d’artistes et de différents projets réalisés. Le livre prend pour source les archives d’images fournies par des internes, ces images dévoilent le processus de création des artistes.

Une lecture autour de la liberté d’expression. Le projet The Moscow Trials reprend l'histoire du différend entre les artistes et les croyants orthodoxes - sous forme de théâtre politique.

Work Hard/ Play Hard est un programme dans lequel les artistes offrent une réponse ludique ou pensent les conditions de travail actuelles avec un twist poétique. Bienvenue!

TINA – There Is No Alternative” était le slogan de Margaret Thatcher. Le slogan de Martin Schick sonne: “TAMARA – There Are Many Awesome Realistic Alternatives!

Johan Lorbeer joue avec les lois habituelles de la gravité et s’oblige au repos.

Le SAN KELLER LEARNING CENTER représente symboliquement un ‘refuge contemporain’, une ‘capsule de survie’ pour une vie après le capitalisme. Si le système venait soudainement à s'effondrer, comme le suspectent certains économistes, cette CAPSULE (facilement à reconstruire dans votre jardin ou sur votre toit) pourrait vous sauver !

Diederik Peeters tourne en dérision la notion de colère. La frénésie frustrée forme le motif fondamental tout au long du spectacle.

Les artistes expliquent le lien entre la maïzena et la société néolibérale: “Notre société est opaque, illisible, indéchiffrable. Un grand tas de maïzena!”

Une installation qui va à la recherche de la poésie dans les ordinateurs, imprimantes, salles de réunions ou même un percolateur. Vous vous ennuyez dans votre propre bureau? Venez visiter le nôtre!