Rêves radicalement utopiques d'un avenir commun.
“The possible has been tried and failed. Now it’s time to try the impossible!” - Sun Ra
We Should All Be Dreaming se concentre sur le potentiel radical des rêves en tant que pratique de guérison et de subversion. La chorégraphe et la metteuse en scène finlandaise Sonya Lindfors suggère simplement que nous devrions tous rêver d'un avenir commun d'une manière fondamentalement utopique.
Pour réaliser ces rêves, vous pouvez participer à cette séance presque thérapeutique. We Should All Be Dreaming est à la fois une réunion chorégraphiée, un spectacle et une conférence. Vous êtes cordialement invité à passer du temps, à écouter et à rêver ensemble.
WSABD n’est pas seulement une lutte contre la sombre réalité de la société, mais fait aussi office de contre-mouvement tout en douceur en créant un espace permettant de réellement vivre ensemble.
WSABD est une collaboration entre Sonya Lindfors et l’écrivaine/activiste Maryan Abdulkarim, toutes deux intéressées par les pratiques utopiques et de décolonisation radicales. Sonya Lindfors (née en 1985, basée à Helsinki) s’adonne aux comédies musicales, aux performances, à la danse de rue, à la danse contemporaine… Elle est aussi la directrice artistique d’UrbanApa, une plateforme pour les nouvelles pratiques artistiques. Elle travaille actuellement sur le fait d’être noir et vient secouer la scène blanche. Écrivaine et militante, Maryan Abdulkarim s’intéresse à des thématiques liées à la liberté.
concept: Sonya Lindfors and Maryan Abdulkarim, groupe de travail: Sonya Lindfors, Maryan Abdulkarim, Roy Boswell, Erno Aaltonen, David Muoz, coproduction: Spring Utrecht festival, Baltic Circle festival, Finnish Cultural Institute for the Benelux, avec le soutient de: Kone Foundation, Arts Promotion Center Finland, Zodiak Center for New Dance, The Jenny and Antti Wihuri Foundation
The project is part of the Go-commission series of The Finnish Cultural Institute for the Benelux to support the creation of new works. Go-commission is made possible through the support of the Jenny and Antti Wihuri foundation.
