Un joyau de danse expressionniste aussi émouvant que déchirant.
En 1926 (!), Mary Wigman exécutait pour la première fois sa Hexentanz (« la danse des sorcières »). Et pour la première fois, la danseuse devenait aussi chorégraphe. Une pure pulsion primaire. S’inspirant de ses propres expériences, Danya Hammoud propose une réinterprétation de ce joyau expressionniste. Originaire du Liban, elle a étudié le théâtre à Beyrouth, puis la danse à Paris. « Le dialogue avec cette danse des sorcières m’a permis d’interroger la figure de la sorcière et de me pencher sur une condition du corps extrême et marginale où des forces contradictoires sont à l’œuvre : la fertilité et la destruction. » Une danse puissante, émouvante de simplicité et de beauté.
As part of TASHWEESH, a 10-day multidisciplinary festival about feminism in the Middle-East, North Africa and Europe. w/ Goethe-Institut Brüssel